OSS 117, rio ne répond plus
OSS 117, rio ne répond plus
Réalisé par Michel Hazanavicius
Avec Jean Dujardin, Louise Monot, Alex Lutz,
Long-métrage français.
Genre : Comédie, Espionnage
Durée : 1h40 min
Année de production : 2008
Trumendous : Kiss my ass !
Hubert :
D’accord, on fait comme ça !
Dolorès : Vous confondez
les Juifs et les Musulmans !
Hubert : Vous jouez sur les mots, Dolorès.
Dolorès :Ça va hubert ?!
Hubert : Ça va oui sauf
que l’avion perd de l’altitude ! On file sur les arbres et je n’aurai
pas le temps de sortir les trains d’atterrissage.
Dolorès
: Y’a quoi qui
va ?!
Hubert :
Ce qui va c’est que je suis
là !
Dolorès : Oh mon Dieu !
Hubert : Merci !
Hubert : Écoutez mon ptit, là j’viens d’tuer un croco’. Alors si vous
voulez qu’on travaille d’égal à égal, faudrait vous y
mettre.
Hubert :
L’humour juif c’est quand ce
n’est pas drôle et que ça ne parle pas de saucisses.
Hubert : Dolorès, je
vais être un petit peu brutal mais il m’est impossible de m’engager
avec une femme. Avec moi, les histoires d’amour ne s’écrivent pas dans
le temps, ce sont des histoires courtes, compactes, passionnelles.
D’aucun ont des aventures... Je suis une aventure.
Trumendous :
Hubert, you are sooo
French !
Hubert
: Haha
toi aussi !
Hubert : Oui Bill, c’est Hubert.
Trumendous : Ahh Houbert, Sacré Houbert son of a
bitch.
Hubert :
Mouiii, sans doute.
Dolorès : Et comment vous appeler un pays qui a
comme président un militaire
avec les plein pouvoirs, une police secrète, une seule chaine de
télévision et dont toute l’information est contrôlée par l’État ?
Hubert : J’appelle ça la France mademoiselle,
et pas
n’importe laquelle, la France du Général De Gaulle.
Heinrich: Je hais mon père, c’est un Nazi ! [Il
se prend une baffe de OSS 117]
Hubert :
Non mais oh ! Comment tu parles de ton père ! Qui c’est qui t’as
nourri ? Moi jamais je parlerais de mon père
comme ça, jamais ! Moi mon père il était charron ; et j’ peux t’
dire qu’ça filait doux ! Ça, la mère de la Bath elle mouffetait pas ! Et
les enfants non plus
d’ailleurs.
Hubert
: D’ailleurs,
ne dit-on pas qu’une femme qui éclabousse un homme, c’est un peu comme
la rosée d’une matinée de printemps, c’est la promesse
d’une belle journée et la perspective d’une soirée enflammée ?
Carlotta : Quel réveil.
Hubert : C’est l’inexpugnable arrogance de
votre beauté qui m’asperge.
Hubert
: On
se connait non ?
Un brésilien : Ouais, on
a passé une nuit ensemble sur la plage!
Hubert
:
On a passé une nuit
ensemble ? Hahaha ! Ne dites pas ça, on a l’impression qu’on a... Et
là, tu, vous faites quoi ?
Un brésilien
: Je mange une
pomme d’amour ! Tu veux croquer ?
Hubert
:
Serpent ! je n’mange pas de
ce pain là !